ANZU, CHAT-FANTÔME
YOKO KUNO & NOBUHIRO YAMASHITA
Japon-France, sortie le 21/08/2024, 1h34 -VOST

2 Nominations «Longs Métrages» au Festival d’animation d’Annecy et à la Quinzaine des Cinéastes 2024

A partir de 8 ans

Anzu, chat-fantôme raconte l’histoire de Karin, 11 ans, abandonnée par son père chez son grand-père, le moine d’une petite ville côtière de la province japonaise. Celui-ci demande à Anzu, son chat-fantôme jovial et serviable bien qu’assez capricieux, de veiller sur elle. La rencontre de leurs caractères bien trempés provoque des étincelles, du moins au début…

Du jour au lendemain, Karin, 11 ans, est abandonnée par un père inconséquent aux bons soins de son grand- père, moine fauché vivant à la campagne. Douloureux changement d’horizon pour cette petite citadine n’ayant jamais fait le deuil de sa mère. Lorsqu’elle rencontre Anzu, chat-fantôme ventripotent, débonnaire et procrastinateur, elle entrevoit le moyen de plonger dans le monde des défunts.
Il s’occupe de l’intendance, fait les courses et quelques excès de vitesse sur son petit scooter, répare des trucs dans le temple où il travaille. Anzu est affable, malicieux, susceptible, volontiers vanneur, il n’a rien de particulier, à part un léger détail : il n’est pas humain.
C’est un « chat-fantôme », rond, gros et jaune, passé post mortem de la condition d’animal domestique ordinaire à félin à tout faire chez le moine d’une bourgade côtière du Japon – le grand-père de l’héroïne, Karin, 11 ans et toutes ses nattes, laissée sur place contre son gré par un père indigne.
Adaptation éponyme d’un manga signé Takashi Imashiro, « Anzu... » est une sorte de greffe improbable (et savoureuse) entre la tendresse d’un Takahata et la folie d’un Kitano.

Une délicieuse fable sur la pré-adolescence. Les Fiches du Cinéma

Coloré, ensoleillé, chaleureux et rythmé : Anzu combine les caractéristiques de l’animé traditionnel, où l’expression des sentiments est exagérée, à la beauté d’un décor qui oscille entre l’estampe japonaise et l’ultra-réalisme teinté de pastels. Cinéma Teaser

(...) cette adaptation d'un manga japonais est un bijou d'animation, dont le côté mal poli assumé ne constitue pas la moindre de ses qualités. Ouest France

Coloré, ensoleillé, chaleureux et rythmé : Anzu combine les caractéristiques de l’animé traditionnel, où l’expression des sentiments est exagérée, à la beauté d’un décor qui oscille entre l’estampe japonaise et l’ultra-réalisme teinté de pastels. Dernières Nouvelles d’Alsace